Cher Airtel,
Celle-ci n’est pas une lettre d’amour ou de demande d’emploi,
Ce sont des cris de tes clients auxquels tu infliges une morose vie,
Notre fidélité envers toi nous a mis sur une épineuse croix,
Dans un monde d’escroquerie, de vol, de souffrance, ô cher ami !
On avait espoir de bien sécuriser notre pognon dans ”Airtel money”
Mais aujourd’hui tout le monde peut swaper nos sims quand il le veut
Et récupérer le montant qu’il n’y a pas versé.
Le pire est qu’avec toi, on ne sait plus comment on déduit…
Où vont nos forfaits qui expirent tant qu’on ne les a pas encore utilisés !
Ta foutue connexion est les cris d’alarme de tout le monde s’ayant accroché sur toi.
Tant d’entreprises, tu as tué, trop de relations, tu as brisé,
Mais l’arrogance dans tes publications nous fait des désarrois.
Dans tes shops, tes super-agents utilisent la connexion des autres réseaux,
À toute fois qu’ils trouvent que l’air n’est guère beau !
Quel sera notre sort, quand même tes plus proches ?
Se font peine de s’adapter à ces conditions viles et moches ?!
Une 4G semblable à la 2G des autres réseaux de télécommunication,
Merde!! Pas de rapidité, mais, consommation élevée,
Airtel, tu nous fais de l’hypertension, mais tu penses que tu as tout achevé !
On en marre vraiment !! Tu fais souffrir davantage une souffrante nation !
”Ô réseau des smartphones !” Ô réseau de smart vol,
Tu nous rends mal à l’aise ”au-delà de notre imagination”
Au point qu’on arrive plus à expliquer nos sensations.
On a besoin du paradis, fiche nous la paix ici sur sol.
Hormis tes malsains actes,
Merci, car nous reconnaissons aussi tes œuvres positives,
Et si tu veux qu’on fasse un jour avec toi un grand pacte,
S’il te plaît, Airtel arrête de nous rendre la vie négative !
On a besoin du paradis, fiche nous la paix ici sur sol !
Celle-ci n’est pas une lettre d’amour ou de demande d’emploi,
Ce sont des cris de tes clients auxquels tu infliges une morose vie.
Notre fidélité envers toi nous a mis sur une épineuse croix,
Dans un monde d’escroquerie, de vol, de souffrance, ô cher ami !
Écrit par Asaph’art à Bukavu 10.08.2023