Qui a peur de la mort
Donc il n’est pas très fort !
Il n’aura plus le timbre de voix
Ni la souffrance delà fois
Après la mort, on ne distingue pas
Nos bruits de pas à pas
La disparition de nos idées
Au même moment, notre usage est idée
Le sentiment reste dans nos cœurs.
Mais nos yeux coulent Des pleurs
En tombant sous les pleurs mondaient
Dérobait à nos pieds le sentier incertain
La mort amène les vides dans nos familles.
Et une déception dans nos cœurs détaillés
Personne ne connait son malheur
Sur la Terre, tout le monde est voyageur
Au moment de mourir, pose un baiser merveille
Et dont la mort nous amène au sommeil
L’hirondelle s’enfuit à l’approche de l’ombre
Et voit violenter la chauve-souris sombre
Écrit par NSHOKAN0 GABRIEL GABI
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