Poète par Dominique Bayard
Je rêve quelquefois d’un poète inconnuQui écrirait des vers que moi seule aurait lusUn être de passion, passionné, passionnantDont chaque […]
Je rêve quelquefois d’un poète inconnuQui écrirait des vers que moi seule aurait lusUn être de passion, passionné, passionnantDont chaque […]
S’il y a une chose qui suscite ma peine,C’est de voir pleurer ma charmante reine.Sur un quai de gare où
Petite fille ne soit pas tristeJe t’en prie résisteJe sais ton enfance bafouéeHarceléeTes matins dévorés d’abandonLes consL’indifférence des adultesLes vacarmes,
Qui suit mes pas sans jamais s’interromprequi me lu l’heure le jour, je n’ai pas la montrebelle est son âme
Nuit et jour, condamné à ne quitter la barre.Tu es la seule à qui mes secrets, je dévoile,J’espère te trouver
Les arbres avaient perdu leurs vêtements,bras frêles et maigres craquant dans le vent.Leur nudité était presque EFFRAYANTE,âme ténébreuse, image désolante.
C’est un hymne à l’amour, un hymne que j’avais perduRien n’est plus beau que l’amourSi douces mes paroles prennent vieMots
Cinq heures du matin, depuis la veille, je suis tout excité, je vais rejoindre, enfin, ma Suisse adorée ! Comme
Comment tu as pu ma belle. Toi qui étais de celles Qui ont une âme de rebelle Comment tu as
La terre C’est un trou d’enfer Là où riment la misère La violence, la galère C’est un monde de
Et ma plume ajoute mes notes Sur ma feuille, je réalise le rêve Mon plaisir, le publié pour tous Ma
Je me suis allongé sur un gentil nuage Celui qui dérivait en flânant doucementIl s’en allait là-bas vers un lointain