L’adolescent se croit grand,
De son petit haut de ses 14 ans
Il n’a pas encore tout vu
Que de son acte, sa vie est déjà foutue,
Il est déjà son propre coupable,
Et il n’existe pas d’autre mot qu’effroyable
De son petit haut de ses 14 ans
Il n’a pas encore tout vu
Que de son acte, sa vie est déjà foutue,
Il est déjà son propre coupable,
Et il n’existe pas d’autre mot qu’effroyable
.
L’adolescent a perdu de son insouciance,
Sans guère de complaisance,
Il n’a fait de son adolescence,
Qu’un triste champ de cendres,
Qu’il ne peut pas encore bien comprendre,
Mais que le temps, qu’il n’a déjà plus, lui fera entendre…
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Il a mis son avenir à mort,
Avec celle qui a donné sans remord
La fenêtre de ses rêves vient de s’effacer,
Pour qu’un a barreau commencer à se dessiner,
Et ses parents sont anéantis par ce qu’il a fait,
Pourtant, ce n’est rien à côté de la famille, à qui la jeune fille, il a volé…
.
J’ai posé une horrible vérité, mais poétiquement,
Pour dénoncer, un manque criant de position du gouvernement,
Qui ne parade qu’avec des discours qui n’évoquent qu’un choix cornélien…
Tout reste encore à faire, certaines choses à refaire autrement,
Pour que ne soit plus tâchée de sang les mains des adolescents imitant les grands,
Pour que ne coulent plus les larmes de parents orphelins de leurs enfants…
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Écrit par Sundhauser Flavien le 25 et 26/5/2021